Pierre Chaillot & Jérémie Mercier: À la recherche la vérité
Dans ce dialogue tous azimuts, Pierre Chaillot et Jérémie Mercier évoquent leurs parcours et expériences respectives comme chercheurs de vérité. Scientifiques rigoureux tous les deux, ils observent comment la science peut être utilisée pour valider des méthodes et croyances non scientifiques sous prétexte de consensus. Ils insistent sur la nécessité de ne pas mettre de limites au questionnement et de ne pas s’arrêter à ce qui est acceptable. Une invitation stimulante à dépasser conditionnements et postulats pour retrouver liberté, courage et curiosité sans limites !
Merci pour avoir contribué à mettre à jour la PsyOp Covid et pour soulever une question importante qui devrait être débattue sérieusement (tout comme celle du graphène) et faire l’objet de controverses scientifiques.
Quelques remarques critiques (désolé si vous y avez répondu lors de la conférence à laquelle je n’ai malheureusement pas pu assister).
1. Le virus étant défini comme nécessitant un hôte (une cellule vivante) pour se reproduire, les postulats de Koch (culture pure) ne saurait s’y appliquer contrairement aux bactéries. Dire que les virus n’existent pas parce qu’ils n’ont pas été isolés selon ses postulats ne veut rien dire (c’est comme affirmer que les chiens n’existent pas, parce qu’ils ne volent pas dans les airs).
2. Les anomalies statistiques (relativement à la doxa officielle) prouvent que la pandémie est une PsyOp. Ni plus ni moins. Car plusieurs hypothèses peuvent expliquer l’absence de transmission : hormis l’inexistence, l’hypothèse de virus possédant d’autres caractéristiques que celles qu’on nous a vendu. Un coronavirus non pathogène en soi est
cohérent avec les statistiques, me semble-t-il.
Pourquoi ne pas imaginer un virus inoffensif, mais pouvant jouer un rôle quelconque en raison de l’affaiblissement du système immunitaire (par des facteurs internes, comorbidités, et externes, environnementaux). Dans cette hypothèse, le coronavirus est largement répandu, tout au long de l’année, mais n’occasionne de symptômes (ou n’y contribue) qu’en hiver, sur des systèmes immunitaires défaillants. La question de la transmission est alors secondaire, voir indifférente.
3. A noter que Big pharma a autant à perdre si les virus ne sont pas pathogènes en soi que s’ils n’existent pas. Plus besoin de médicaments ou de vaccin, il suffira de prendre soin de son système immunitaire. (Pas besoin non plus d’avoir peur d’une arme virale, devenue inoffensive par définition).
En bref, il me semble que la PsyOp (démontrée indubitablement) est la pandémie, ce qui remet en cause l’existence d’un virus pathogène mais pas nécessairement l’existence d’un virus non pathogène.
P.S. Selon la doxa officielle il existe plus de 3900 espèces de virus, dont seulement 129 virus pathogènes, on peut donc déjà diminuer ce chiffre en excluant le coronavirus ou même le réduire à zéro – avant d’envisager la suppression de tous les virus et leur remplacement par autre chose (pour expliquer les observations faites sous microscope optique, pour les virus géants, ou électronique).